Un brame bien timide cette année encore, venant confirmer mes craintes quant à la déliquescence de ce moment pourtant si magnifique. La forêt de Fontainebleau se vide petit à petit, année après année de ses habitants. L’ONF, quelquepeu exangue financièrement tire profit d’un plan de chasse des plus drastiques afin de faire entrer dans l’escarcelle espèces sonnantes et trébuchantes. Les hôtes sauvages des sous-bois subissent de plein fouet cette gestion cynégétique dramatique. Il est grand temps de se battre pour sauver leur cause. Plaidoyer pour les cervidés en images.
Une certaine tristesse dans le regard. Celle de ne plus retrouver ces congénères-concurrents?
Filons, fuyons, l’ennemie suprême est repéré.
Le cerf qui se rendait à son cours de conduite.
Dur dur d’être un dominant.
Cerf on the beach.
Cri d’espoir ou de désespoir…
Pour que ces rencontres ne riment pas avec rareté.